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Professeure en vedette en sciences infirmières Ă  l’UniversitĂ© ż´Ć¬ĘÓƵ: Elaine Doucette

Notre corps professoral est l’âme de l’École des sciences infirmières Ingram (ÉSII). Découvrez nos pédagogues mcgillois grâce aux portraits de cette chronique. Voici celui d’Elaine Doucette, inf., M. Sc. inf., qui témoigne de sa passion pour son travail aux soins intensifs.

En 2015, elle a reçu le prix d’excellence en enseignement de la FacultĂ© de mĂ©decine de l’UniversitĂ© ż´Ć¬ĘÓƵ. La mĂŞme annĂ©e, l’Association canadienne des infirmiers/infirmières en soins intensifs (ACIISI) lui a remis le premier prix pour son article « Silent witnesses: Student nurses’ perspectives of advocacy and end-of-life care in the intensive care unit ». Elle a donnĂ© des prĂ©sentations Ă  plusieurs endroits au Canada et aux É.-U. et a Ă©tĂ© publiĂ©e dans diverses revues.

Pourquoi avez-vous choisi d’étudier en sciences infirmières/de devenir infirmière?

Au départ, ce qui m’a animé, c’est l’exemple concret des nombreux membres de ma famille qui ont exercé cette profession dans une diversité de milieux et de spécialités, en moult coins du monde et durant les années de guerre. Leurs contributions au cours de cette période difficile ont été des actes de bravoure et de compassion pour autrui.

Quel est votre domaine de compétence ou votre spécialisation, et pourquoi?

Mon choix de travailler aux soins intensifs, dans quelque hôpital où j’ai exercé, m’a toujours passionnée.

Qu’est-ce qui vous a motivée à faire partie du corps professoral de l’ÉSII?

Ma philosophie en éducation procède de mes expériences et de mon évolution en tant qu’enseignante et clinicienne, ainsi que des échanges que j’ai eus avec mes étudiants et mes collègues. J’estime important de reconnaître que les étudiants arrivent dans nos cours avec une identité qui leur est unique, et qu’ils ne sont pas là pour être façonnés par le corps professoral; en fait, ils y viennent avec une pluralité d’expériences de la vie, de contextes culturels, de connaissances et d’aptitudes à intégrer et à traduire dans leur formation professionnelle en santé. C’est un honneur d’avoir été invitée à enseigner dans nos classes et dans différents contextes de soins.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail?

La possibilité de travailler avec les étudiants et de leur enseigner dans divers cadres cliniques.

Quelles trois facettes (ce peut être moins ou plus!) aimeriez-vous faire connaître de la profession infirmière de façon générale?

Ma profession permet de contribuer à la santé et au bien-être de toute personne qui nécessite du soutien et des soins durant une période difficile ou une maladie qui pourrait être mortelle. Elle est axée sur les patients et la famille, et elle donne l’occasion de sauver des vies et d’offrir du réconfort et de la compassion aux personnes qui en ont le plus besoin.

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