RĂ©ussite autochtone
En sa qualitĂ© d’établissement universitaire de premier plan au Canada et dans le monde, l’UniversitĂ© ż´Ć¬ĘÓƵ a un rĂ´le essentiel Ă jouer dans la rĂ©ponse aux appels Ă l’action lancĂ©s par la Commission de vĂ©ritĂ© et de rĂ©conciliation du Canada. Elle est fermement rĂ©solue Ă tendre la main aux communautĂ©s autochtones et Ă collaborer avec elles afin de trouver, d’explorer et de concrĂ©tiser des idĂ©es, des initiatives et des projets qui viendront imprĂ©gner de l’esprit autochtone la vie et les activitĂ©s de l’UniversitĂ©. ż´Ć¬ĘÓƵ fera Ă©galement une plus large place aux Ă©tudiant(e)s, aux professeur(e)s ainsi qu’aux employĂ©(e)s autochtones et favorisera leur rĂ©ussite.
Pour ce faire, le provost et vice-recteur principal aux études a constitué, en 2016, le Groupe de travail sur les études et l’éducation autochtones, guidé d’une part par le respect de l’histoire, de la présence contemporaine et des modes d’apprentissage autochtones et, d’autre part, par la réconciliation. Cette dernière exige que l’on prenne acte des appels à l’action de la Commission par la mise en œuvre de mesures en matière d’éducation visant à réparer les injustices historiques et à rétablir les liens avec les peuples autochtones.
Le Groupe de travail a reçu le mandat de formuler des recommandations précises et concrètes axées sur la concertation, l’action et l’innovation et, en juin 2017, a soumis à l’Université un rapport final comportant 52 appels à l’action. Tout au long de l’année universitaire 2017‑2018, l’Université élaborera un plan de mise en œuvre de ces appels à l’action, et veillera à ce que ses engagements à promouvoir la réussite autochtone soient concrétisés. Nous avons entrepris de nouer des partenariats avec les communautés autochtones et de mettre sur pied, en collaboration avec elles, des programmes passerelles grâce auxquels nous espérons plus que doubler le contingent d’étudiant(e)s autochtones de l’Université d’ici 2022.
En appui à cet engagement, le provost et vice-recteur principal aux études a créé le poste de conseiller(‑ière) spécial(e), Initiatives autochtones, dont le mandat consiste à mettre en œuvre les recommandations formulées dans le rapport final du Groupe de travail.